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Chalom Charlene,
Ceci est très aléatoire et dépend principalement des raisons qui vous font douter. Il peut y avoir parfois de bonnes raisons, mais, quelques fois, il s'agit de l'influence du Yétser Hara' (mauvais penchant).
Vous pourrez remarquer qu'en hébreu, la valeur numérique du mot "doute" ("Safek") est la même que celle du mot "Amalek" (240). Ceci n'est pas un hasard, car si nos doutes ne sont pas fondés sur des raisons objectivement valables, il s'agit en fait de l'influence des forces du mal symbolisées par le peuple d'Amalek.
Pour déterminer si vos raisons de douter sont valables ou pas, parlez-en avec un Rav.
Lorsqu'on rencontre son Zivoug, les choses ne se passent pas forcément avec facilité. Il peut tout à fait y avoir des embuches à surmonter, surtout avant le mariage, où il y a pratiquement toujours des histoires entre les familles. Nos Sages nous enseignent que cela provient du fait que, lorsque les Bné Israël ont reçu la Torah, ils se sont plaints de devoir divorcer et se remarier parce qu'ils se mariaient couramment entre membres de famille proche (et la Torah interdit certaines proximités familiales, comme par exemple le neveu avec sa tante).
Kol Touv.
