Chalom Rav,
Une jeune fille peut-elle demander pardon avant Roch Hachana et Kippour à un jeune homme qui n'est pas de sa famille (côtoyé dans un cadre scolaire/académique ou professionnel) ?
A partir du moment où il y a eu discussion et interaction, il se peut en effet qu'ils se soient blessés/vexés l'un l'autre, avoir eu du ressentiment, etc., même indirectement ou sans le savoir.
Mais n'y a-t-il pas un risque de rapprochement inutile ?
Merci d'avance pour votre réponse.
Chalom Ouvrakha,
S'il y a lieu de craindre un rapprochement interdit, on pourra nommer une tierce personne qui ira demander pardon au nom du fautif [voir Michna Beroura 606,2 et Yé'havé Da'at tome 5-44].
Kol Touv.