Bonjour
J ai recemment regarder un chiour de rav yossef bentata que j apprecie bcp sur la tefila et il disait que hachem ecoute nos prieres mais pas quand on met confiance en autre chose en etant dans un etat de יאוש
Jai bien compris cad se dire que hachem seulement possede les clefs en main pr repondre a nos prieres mais si je suis bien et confiante que ma yechoua arrive c est bien aussi non? La simha est un element important dans la avodat hachem
L etat de yeouch pr moi fait allusion a deprimer etre triste pourquoi arriver a ce stade pourrait aider?!
Le Rav Israël Méir Arié Zeev HaCohen dit le "Hafets 'Hayim", écrit dans son livre "L'attente de l'Espoir" au chapitre 1 :
"Il est écrit dans le prophète Yoël (chapitre 3-5) : "quiconque invoquera le nom de l'Eternel sera sauvé; car sur le mont Sion et dans Jérusalem le salut sera assuré, ainsi que l'a dit l'Eternel, comme il le sera, parmi les survivants, à ceux qu'élira le Seigneur".
Le Hafets 'Hayim explique ce verset en disant qu'il y a deux catégories d'individu qui mettront fin à cette Galoute, cet Exil :
1. Ceux qui crieront Son Nom nuits et jours, qui vivront dans la difficulté et de façon précaire ; ne recherchant toute leur vie qu'à se coller à Hachem.
C'est de ces personnes auquel la Torah fait allusion dans Devarim 30 (1-10) : "Or, quand te seront survenus tous ces événements, la bénédiction ou la malédiction que j'offre à ton choix ; si tu les prends à cœur au milieu de tous ces peuples où t'aura relégué l'Éternel, ton Dieu, que tu retournes à l'Éternel, ton Dieu, et que tu obéisses à sa voix en tout ce que je te recommande aujourd'hui, toi et tes enfants, de tout ton cœur et de toute ton âme".
Le 'Hafets 'Hayim dit que pas tout le monde ne pourra tenir à ce niveau de foi et de confiance en Hachem ; il faut en déduire que cette première catégorie nous rapprochera de la Guéoula par leur foi.
2. Ceux dont parlent la Guémara (Sota 49b) : les personnes qui n'accepteront même plus les reprimandes, signe de yéouch (désespoir), qui n'attendent plus rien vivent sans aucune joie.
En fait, il y a deux catégories qui font rapprocher la délivrance prochaine, c'est ce que le Ari Zal écrit dans son livre Chaar Hakavanot.