Bonsoir Rav,
J’aimerais savoir si pour une femme convertie au judaïsme qui n’a pratiquement jamais pratiqué son judaïsme (pas un Chabbath), les lois de Avélout (deuil) s’appliquent pour ses enfants, au même titre que pour un juif pratiquant ?
Merci.
Chalom Ouvrakha,
Si cette femme était une hérétique, il n'y a pas lieu de s'endeuiller pour elle (Choul'han Aroukh Yoré Déa 345,5).
Kol Touv.