Bonjour Rav,
Si une personne fortunée achète un nouveau vêtement, mais que le port de ce dernier ne lui procure pas de réel plaisir, devra-t-elle malgré tout réciter la bénédiction de Chéé’héyanou ?
Une personne fortunée qui ne retire pas de plaisir particulier du port d’un nouveau vêtement ne devra pas dire Chéé’héyanou.
En effet, la récitation de la bénédiction dépend de la joie que l’on ressent (Ben Ich ‘Haï Parachat Rééh, chap. 4 ; HaBérakha VéHalikhotéha p. 332, alinéa 3).