Bien lire les Psoukim pour être quitte ?

Bonjour,

A priori, il faut s’efforcer de lire chaque mot et chaque lettre, le mieux possible, et de marquer un arrêt entre un mot dont la dernière lettre est semblable à la première de celui qui le suit [Al Lévavékha et pas Alévavékha] ou entre un mot commençant par une lettre gutturale [Alef, Hé, Aïn etc.] et un mot se terminant par une lettre ayant une prononciation forte [Métar Artsékhème et pas Métarartsékhème. Chabé’hi Yérouchalaïm Ète Hachem et pas Chabé’hi Yérouchalaïmète Hachem. Ète Hachamayim et pas Èta Chamayim, etc.].

Cependant, même si la lecture de chaque mot n’a pas été d’une grande précision, on est tout de même acquitté de la Mitsva.

L’auteur du Yessod Véchorech Ha'avoda apporte des références extraordinaires expliquant l’impact d’une lecture précise avec une ferveur particulière. Voir Pisské Techouvot [nouvelle édition], chapitre 285, passage 1.

D’autre part, il faut s’efforcer de comprendre le sens des mots et l’idée générale des versets de chaque Paracha, car c’est le but de cette Mitsva.

Qu’Hachem vous protège et vous bénisse.