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Bonjour,
Avant de s'expliquer par la Torah, cette question doit tout de même être expliquée par la science.
Puisque nous parlons de 1,2 % sur 3 milliards de séquences d’ADN, soit trois mille millions, la différence entre l’homme et l’animal est précisément de 50 millions de séquences d’ADN qui les séparent.
Ces séquences sont des étapes évolutives nécessaires d’après les partisans de la théorie darwinienne pour que s’opère le changement et cela, on ne peut pas l’occulter. Il faut donc 50 millions de mutations génétiques pour obtenir un changement réel. Les mutations se doivent d’être constructives et non nocives et donner naissance à des générations entières de singes qui donneront eux-mêmes naissance à d’autres générations de singes plus évolués et plus proches de l’homme, pour enfin donner naissance à l’homme.
Assurons-nous de la viabilité statistique et logique d’une telle entreprise. Disons - et je suis généreux - que dans chaque génération se sont produites 50000 mutations hasardeuses qui toutes ont miraculeusement été constructives et viables. Un argument qui serait la risée du monde de la chimie. Mais essayons d’être conciliants…
Un calcul des plus simples montre qu’il faudrait 1000 générations pour que ces mutations opèrent. On aurait donc dû trouver d’après la théorie néo-darwinienne 1000 formes transitionnelles différentes dans le sol, car il s’agirait là de plus de 1000 sortes de singes qui séparent l’homme du chimpanzé. Quand je parle de 1000 formes transitionnelles, je parle bien de 1000 générations de formes transitionnelles soit des millions de spécimens dans le sol, et pourtant rien. Donc, pari raté pour les néo-darwinistes ! Car aucune forme transitionnelle n'a jamais été trouvée dans le sol, les seules découvertes sont soit des espèces de singes, soit tout simplement des hommes...
Cependant, il n'est pas exclu dans la vision de la Torah que D.ieu ait fait évoluer l'espèce humaine à partir de l'espèce animal pour ensuite lui insuffler une âme divine. Ce n'est déjà plus la théorie du hasard, mais une façon d'interpréter dans les textes sacrés la manière dont le Créateur créa l'univers.
Cordialement.