Dans la Paracha de Vaét'hanane, Moché Rabbénou rappelle aux Bénei Israël l'importance d'accomplir les mitsvoth, sans en inventer ni en supprimer.Puis il les met grandement en garde sur la nécessité de ne jamais oublier ce qu'ils ont vu lors du don de la Torah, et de le transmettre à leurs enfants. Cette transmission a certes permis la conservation de notre émouna ; mais est-elle pour autant le seul moyen d'éveiller celle-ci et de l'entretenir ? La émouna est-elle simplement une affaire de transmission ou aussi de réflexion ? Réponses à ces questions à partir d'un commentaire de Rav Berman sur les fameux mots "véyada'ta hayom vahachévota el lévavékha"....
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