Dans la paracha de Choftim, la Torah nous parle des villes de refuge, dans lesquelles celui qui avait tué par inadvertance devait s'enfuir pour être à l'abri du goél hadam (une personne qui avait le droit de le tuer s'il était hors de ces villes). La ville de refuge aidait aussi le meurtrier involontaire à nettoyer son âme des conséquences de son acte terrible, bien que non prémédité. Elle lui permettait de progresser spirituellement, puisqu'il y était en contact avec les Lévyim (des personnes particulièrement dévouées dans le service d'Hachem). Mais jusqu'à quand cet homme restait-il dans une ville de refuge ? En quoi cela montre-t-il la beauté et la délicatesse de chaque facette de la Torah ? Réponse à travers un passage de la Guemara Chevouot, rapporté par le Méchekh Hohkma.
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