Chabbath matin, à la fin de la prière de Moussaf, nous disons un texte qui commence par les mots "Ène kÉlokénou (Il n'y a pas comme notre D.ieu)". Dans celui-ci, nous affirmons qu'il n'y a pas comme Hachem, et ensuite seulement nous demandons "Qui est comme Hachem ?". Pourquoi ? N'aurait-il pas été plus logique de faire l'inverse ?
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