1. La sainteté du Chabbath est extrêmement forte : « Le Chabbath et les jours de fête, ne parlez pas de choses qui ne sont pas absolument nécessaires. Et même pour ces choses absolument nécessaires, soyez brefs, car la sainteté du Chabbath est immense. »
2. L’étude de la Torah dans la sérénité : « L’étude est retenue par l’homme uniquement s’il étudie de manière posée et dans la sérénité. »
3. Beaucoup d’entraînement pour acquérir des bonnes Middot (traits de caractère) et un bon langage : « Il faut beaucoup d’entraînement pour acquérir de bons traits de caractère et un bon langage. »
4. Le mécréant sait que la voie qu’il a choisie est mauvaise : « Le mécréant sait lui-même que la voie qu’il emprunte est mauvaise, mais il a du mal à la quitter. »
5. On reçoit un immense salaire pour chaque instant où l’on ferme la bouche pour éviter de proférer des paroles interdites : « Et chaque instant où l’homme ne dit mot, il a droit à la lumière secrète qu’aucun ange ou autre créature ne peuvent s’imaginer. »
6. Mériter le monde futur - en préservant sa langue : « L’essentiel est de mériter le monde futur en préservant sa langue, et cela vaut plus que toute la Torah et les actions. »
7. La pire des transgressions : « Et en conséquence, je vous mets en garde : tentez autant que possible de rester seul, car la faute du Lachon Hara’ (médisance) est la pire de toutes. Et pourquoi m’étendre sur cette grave faute, plus grave que les autres ? "Tout le labeur de l’homme est au profit de sa bouche." (Kohélet 6,7) Nos Sages ont déclaré que toutes les Mitsvot et la Torah de l’homme ne se mesurent pas à ce qui sort de la bouche de l’homme. »
8. Tout doit être fait dans la paix, l’amour, l’affection et la satisfaction : « Je viens vous présenter une demande très pressante et d’une importance suprême : guidez vos filles pour qu’elles ne profèrent aucune malédiction, serment, propos mensongers ou conflictuels, tout doit être mené dans la paix, l’affection et la satisfaction. »
9. Préserver la bouche et les désirs, la Téchouva : « Jusqu’au jour de sa mort, l’homme doit se tourmenter, non par des jeûnes et des mortifications. Et chaque instant où l’homme se retient de parler, il a droit à la lumière secrète qu’aucun ange ou autre créature ne peuvent s’imaginer. »
10. Honorer la belle-mère, en particulier s’il s’agit d’une veuve : « Je demande à mon épouse d’honorer ma mère, comme c’est écrit dans la Torah, en particulier une veuve, car c’est une très grande faute de l’attrister, même par un petit geste. Je demande également à ma mère qu’il y ait la paix entre vous deux. Une femme réjouira sa prochaine par de bonnes choses, car c’est une grande Mitsva pour tout un chacun. »