Un jour, une dame demanda à un mohel de venir faire la brith mila à son fils. Lorsque celui-ci arrive chez elle, il assiste à une scène innatendue, mais également très triste: aucun invité n'est présent en l'honneur de l'événement, et même les propres parents du bébé -des gens laïcs- ne daignent pas assister à la mila de leur fils. Ils partent de chez eux avant même que le mohel ait commencé son travail, et celui-ci se retrouve donc seul dans une maison inconnue, à devoir faire la mila à un nourisson. A un moment, celui-ci se met à pleurer, mais le mohel ne sait pas comment le calmer: la mère n'a même pas laissé un biberon de lait pour son fils! Désemparé, il se met à prier et à pleurer pour cet enfant, et ceci pendant plus d'une heure... Des années plus tard, ces téfiloth et ces pleurs produiront leur effet. Comment et à quelle(s) occasion(s) ? En quoi cette histoire rappelle-t-elle la force inestimable d'une téfila accompagnée de larmes?
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